L'homme est subordonné au souvenir, à la réminescence. Il a la faculté de mettre en images les archives de sa mémoire.
Il y a "défrichage" de territoires embués de l'enfance...le paradis perdu.
Les souvenirs sont fragiles parce-que prompt à basculer dans l'oubli, face aux agressions déstabilisatrices d'une société hyper-médiatisée vouée au fugace, au transitoire...
Je tente d'arrêter le temps.
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